Avec l’aimable autorisation d’El EspectadorSans spoilers ! Ainsi a été réalisée la série de Netflix Cent ans de solitude
Cent ans de solitude, le roman de l’écrivain colombien Gabriel García Márquez, arrivera sur le petit écran grâce à Netflix. Considérée comme l’une des œuvres les plus significatives de la littérature latino-américaine du XXe siècle, ce sera la première fois que le livre sera adapté à l’écran.
Macondo en tant que décor et la famille Buendía comme protagoniste passeront de la lettre imprimée au monde des images à travers seize épisodes. Cette production audiovisuelle passionnante promet de donner vie à la narration et à l’héritage culturel de Gabo. Découvrez plus de détails sur la série de Netflix et plongez dans l’histoire qui a captivé de nombreuses personnes dans différentes parties du monde !
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Avec l’aimable autorisation de Revista SemanaLa série a été tournée dans plusieurs recoins du pays de la beauté
L’un des aspects les plus fascinants de cette production est sa réalisation méticuleuse. Le tournage a eu lieu dans les départements de La Guajira, Magdalena, Cesar, Cundinamarca et Tolima. On sait que, pour les jardins et les vergers de la maison de la famille Buendía, de vraies espèces ont été plantées. Le laboratoire d’alchimie et la chambre de Melquiades sont également présents. La maison compte deux étages, de nombreuses pièces et dispose d’accessoires artisanaux provenant de diverses régions de Colombia.
Macondo a été construit à proximité d’Alvarado, Tolima sur un espace équivalant à 70 terrains de football. Ses recoins sont empreints de l’esprit caribéen et constituent la transcription fidèle de l’univers de Gabo. Les rues de Macondo en Colombia sont marquées par des plaques en céramique portant des noms de famille. Par exemple, la rue Papalelo porte le surnom avec lequel Gabo appelait son grand-père, le colonel Nicolás Ricardo Márquez. Il y a aussi la rue Tranquilina, nommée ainsi en l’honneur de sa grand-mère maternelle.
Pour réaliser certaines reconstitutions de Macondo, des recherches historiques ont été nécessaires, et différentes localisations de notre pays ont été explorées, car c’était l’une des conditions que les fils du Prix Nobel, Rodrigo et Gonzalo García, avaient imposées au producteur : que la série soit tournée en Colombia et en espagnol.
Avec l’aimable autorisation d’El EspectadorLa production a rencontré différents défis de décoration et de costumes
L’adaptation de Netflix du roman Cent ans de solitude a mobilisé divers professionnels de la scène audiovisuelle latino-américaine et a rencontré plusieurs défis. L’engagement était de construire un Macondo aussi proche que possible de la réalité colombienne. Pour la création des églises, des rues et des arbres qui ont constitué le village fictif où se déroule l’histoire, il a fallu le travail de dizaines d’artisans, d’architectes, d’historiens, de décorateurs et de techniciens. Il y a eu des peintres de décor, des menuisiers et des bâtisseurs qui ont réalisé l’un des plus grands plateaux de tournage d’Amérique latine.
Un autre aspect intéressant de la production a été la conception des costumes des personnages. Cela a nécessité une recherche préalable pour identifier le style des vêtements et les personnes appropriées pour les confectionner. Il s’agissait de créer des tenues inspirées du Caribe Colombien de la fin du XIXe siècle. Pour la production des costumes, il y a eu un atelier de confection 100% colombien et les tissus ont subi des processus textiles comme le vieillissement (ageing), au cours desquels différentes peintures ont été utilisées.
L’équipe des costumes a également dû rendre visite à des membres de la communauté Wayuu afin qu’ils les aident avec les matériaux, ainsi qu’avec la fabrication d’objets et de tenues utilisés par les divers protagonistes de la série Cent ans de solitude.
Avec l’aimable autorisation d’El EspectadorLa majorité de la distribution est colombienne
Un autre aspect particulièrement enthousiasmant de ce projet est le casting, soigneusement sélectionné, qui donnera vie aux personnages inoubliables du roman. En tête d’affiche, l’acteur bogotano Claudio Cataño, qui a participé à la telenovela « Todas odian a Bermúdez ». Il assumera le rôle exigeant du colonel Aureliano Buendía à l’âge adulte. Connu pour sa polyvalence et son talent, Cataño promet d’offrir une interprétation captivante de ce personnage central.
L’acteur colombien Jerónimo Barón interprétera une version plus jeune d’Aureliano Buendía, offrant aux spectateurs un aperçu de la jeunesse du personnage. Santiago Vásquez complète le trio d’acteurs en incarnant Aureliano pendant son adolescence. Marco González est José Arcadio Buendía, Susana Morales est Úrsula Iguarán, Ella Becerra est Petronila et Moreno Borja est Melquiades.
Le processus de sélection du casting a pris du temps et plus de 10 000 profils ont été examinés en Colombia pour trouver le talent adéquat. Le résultat est une distribution variée qui combine des acteurs non professionnels avec des talents confirmés.
Préparez-vous à revivre Cent ans de solitude sur l’écran !
Sous la direction de Laura Mora et Alex García Lopera, Cent ans de solitude représente l’un des projets audiovisuels les plus ambitieux de l’histoire de l’Amérique latine, réalisé par les meilleurs artistes et techniciens de Colombia et d’autres pays. Rodrigo et Gonzalo García, les fils de Gabo, sont les producteurs exécutifs du projet, qui a été principalement filmé en Colombia.
À mesure que s’approche la très attendue première de Cent ans de solitude sur Netflix, l’excitation ne cesse de grandir. Les fans attendent avec impatience de découvrir davantage sur la distribution intrigante et sur la vision qui se cache derrière cette adaptation unique de l’une des œuvres littéraires colombiennes les plus importantes du XXe siècle.
Avec l’aimable autorisation de Location Colombia
